Serge Zagdanski - Psychanalyste  
Membre de l'Association lacanienne internationale 
(Reconnue d'utilité publique)

 

Comment choisir son psychanalyste ?

La rencontre avec un psychanalyste est avant tout une rencontre entre deux êtres humains. Et à ce titre les premières séances seront déterminantes pour décider de s’engager, ou pas, dans un travail commun. Toutefois, comme dans toute profession, il y a des gens compétents et d’autres qui ne le sont pas. Le choix de son psychanalyste est donc déterminant. Avant tout, il est très important de vérifier son appartenance à une association de psychanalystes, de préférence reconnue d’utilité publique, qui peut garantir sa pratique.  En effet, certaines écoles ou associations délivrent un titre spécifique (généralement Analyste membre de l'Ecole - AME -   ou Analyste membre de l’Association - AMA - )  Il est obtenu à l’issue d’une formation théorique et pratique exigeante et sous condition d’une psychanalyse personnelle.

Oui

  • Chaque cure, quelles que soient ses modalités, tient compte de la singularité et de l’histoire de chaque patient. C’est une aventure, limitée dans le temps, dans laquelle s’engagent deux êtres humains, au plus profond de l’intime, dans le respect de ce qui est le plus précieux pour le patient.
  • On termine une cure analytique. Le bénéfice est définitif et l’appréhension de sa vie personnelle, sentimentale, professionnelle, sociale se fait d’une manière plus harmonieuse et débarrassée de ce qui l’encombre.

Non

  • Il n’est pas nécessaire d’être psychiatre ou psychologue pour être psychanalyste. Comme indiqué plus haut, la formation du psychanalyste est spécifique.
  • Un psychanalyste, contrairement à la caricature qui en est souvent faite, n’est pas un personnage muet dans son fauteuil, laissant au seul patient le soin de parler. Ses interventions, que l’on appelle des interprétations, se font au moment qu’il juge opportun. Elles permettent de confirmer ou d’éclairer les propos du patient.
  • Une psychanalyse ne dure pas nécessairement des années. Une amélioration sensible, la disparition de symptômes invalidants peuvent se produire dans des temps relativement courts.
  • On pourrait proposer cette  formule  : être bien, ça n’a pas de prix ! Toutefois, là encore à rebours des idéee reçues, une analyse ne ruine pas.  Certes, il s’agit d’un investissement conséquent dans le temps mais qui doit être mis en perpective avec le prix que l’on paye lorsque sa vie est une succession d’échecs, de souffrances, de difficultés, de ratages… Je considère que l’argent ne doit pas être un obstacle au travail envisagé. Cette question est donc abordée lors des premiers entretiens.

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